Les communications du colloque peuvent être suivies et présentées en ligne

A PROPOS DU COLLOQUE

Sous le haut patronage de Monsieur le Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, les Universités André Salifou de Zinder et de Diffa organisent:

COLLOQUE SCIENTIFIQUE INTERNATIONAL EN HOMMAGE AU Pr ANDRE Salifou, sur le thème:
"DEFIS ET PERSPECTIVES DE DEVELOPPEMENT AU SAHEL :
Dynamiques environnementale, sociale et économique, conjonctures géopolitiques, crises sécuritaires et sanitaires"

Il se tiendra du 28 au 30 novembre 2022 à Zinder au Niger.

ARGUMENTAIRE

Le Sahel regroupe un ensemble de pays situés dans la zone de transition entre le désert du Sahara au nord et la zone tropicale humide au sud. A l’époque du commerce transsaharien, le Sahel était une région économique active et l’un des « centres » phares du continent africain grâce aux nœuds commerciaux tels que Tombouctou, Djenné et Gao au Mali, Abéché au Tchad, Agadez et Zinder au Niger. La plupart de ces cités ont décliné à cause du détournement des courants commerciaux vers les ports atlantiques ou méditerranéens avec la colonisation européenne (Bennafla, 2003, n.d.). De nos jours, les pays sahéliens figurent parmi les plus démunis de la planète et ont en commun un secteur industriel peu développé, une croissance démographique relativement élevée et une économie fortement basée sur le secteur rural et informel. Le système de production agricole est peu diversifié et n’arrive pas à assurer l’autonomie alimentaire des populations. A cette situation, déjà précaire, s’est adjointe depuis le début des années 1970, une sécheresse climatique étalée sur près de 30 ans (Dai et al., 2004) et qui a gravement accru la vulnérabilité des sociétés et des milieux en particulier des ressources en eau, sol et végétation, bases des productions socio-économiques (Reinert et al., 2015, Sultan et al., 2015, Bouzou Moussa et al., 2016). Toutefois, plusieurs études ont mis en évidence, depuis le début des années 1990, une amélioration de la pluviométrie, et c’est particulièrement dans le Sahel Central et Oriental (Lebel & Ali, 2009, Mahé & Paturel, 2009, Panthou et al., 2014). Malgré cette amélioration, les risques agricoles restent tout aussi élevés que pendant les sécheresses (Alhassane et al., 2013). Ainsi, l’histoire climatique et économique contemporaine de l’espace sahélien est moins porteuse d’opportunités pour un développement viable, d’où la montée des mouvements sociaux (Conflits, migrations).
Par ailleurs, depuis le 11 septembre 2001, le monde vit sous la menace croissante des mouvements terroristes impliquant une instabilité quasi permanente des Etats. Les vastes pays sahéliens sont malheureusement devenus des bases-arrières de plusieurs groupes terroristes (AQMI, MUJAO, Boko Haram…) auxquels s’ajoutent des réseaux criminels transnationaux (trafics d’armes, de drogues…). Aussi, l’insécurité au Sahel s’est-elle empirée avec les mouvements des « Printemps arabe » et particulièrement de la chute du régime libyen de Kadhafi qui a déclenché la libre circulation des armes et des miliciens (Jourde, 2011, ZeinoMahmalat & Reifeld, 2015). Afin de résoudre la crise sécuritaire sahélienne, les pays occidentaux ont implanté des bases militaires dans le cadre des coopérations bi/multilatérales ou sous l’égide de l’ONU. Dans le fait, les bases militaires installées, dont la forte concentration n’est plus observée depuis la 2nde guerre mondiale, reflètent un véritable jeu d’influence entre grandes puissances (Somda, 2019). En effet, fort de leurs ressources naturelles, les Etats sahéliens sont devenus le pivot mondial d’intérêts géopolitiques et sources d’approvisionnement incontournables en matières minérales et énergétiques. D’où des positionnements stratégiques faisant progressivement perdre aux Etats sahéliens, la main sur leurs propres territoires (Antil, 2019). Dans ce contexte les Etats-nations peinent à assoir un véritable processus d’intégration régionale avec des institutions (CEDEAO, UEMOA, etc.) dont les décisions sont souvent contestées ou mal comprises par le peuple.
Enfin, la crise sanitaire, de la COVID -19 en particulier, a amplifié le déséquilibre économique entre les pays du Sahel et le reste du monde. Ces pays, principalement importateurs des produits alimentaires de base, ont été profondément bousculés dans l’approvisionnement en raison des quarantaines et des fermetures de frontières imposées dans le monde entier. Cette crise a mis en évidence les défis de gouvernance politique et économique des Etats sahéliens. Elle a révélé le dysfonctionnement des Etats dans la satisfaction des besoins élémentaires des communautés en matière de santé et de l’éducation. En effet, les fermetures d’écoles et les mesures barrières mises en place ont entrainé d’importants dommages collatéraux : interruption de la scolarité, baisse de niveau d’instruction, inégalité de revenus et de richesses, etc. (Niangaly et al., 2021).
Les défis sus évoqués suscitent des interrogations sur le développement des pays sahéliens. Des perspectives, nouvelles et soutenables, sont à explorer pour relancer l’émergence économique, sociale et culturelle de ces pays. L’organisation de ce colloque scientifique découle de cette nécessité de réflexion globale sur le développement de l’espace sahélien face aux défis environnementaux, sécuritaires, sanitaires et géopolitiques.
L’Université de Zinder porte désormais le nom du Professeur ANDRE Salifou. Elle organise en collaboration avec de nombreux partenaires cette rencontre du donner et du recevoir en hommage à ce illustre homme de science et de culture.

Dates importantes

Début de réception des résumés:
10 août 2022
Fin de réception des résumés:
30 septembre 2022
Notification de l’acceptation des résumés:
10 octobre 2022
Fin de réception des manuscrits complets des articles et confirmation de participation:
05 novembre 2022
Déroulement du colloque:
28 au 30 novembre 2022
Publication des articles retenus dans une revue scientifique universitaire:
15 janvier 2023

AXES DE COMMUNICATION

Listes de axes de communications: Notre colloque vise des travaux originaux et de haute qualité. Les axes de communications sont les suivants:

Dynamiques environnementale, sociale et économique : facteurs, acteurs et actions

Au Sahel, la pluviométrie est, de loin, la variable climatique la plus déterminante pour la vie des populations. Au cours des cinquante dernières années, sa fluctuation interannuelle (sécheresses, intensification pluviométrique) a profondément affecté l’environnement et les productions agropastorales (Ousseini, 1994, Yamba, 2004). Sur cet axe, il s’agit d’analyser les dynamiques / interactions entre les facteurs comme le changement climatique, la pauvreté, les acteurs et les perspectives d’un développement viable basé sur les services écosystémiques.

Conflits, migration et mécanismes de gestion

Un conflit est une situation relationnelle structurée autour d'un antagonisme caractérisé par la présence de forces opposées (Cattaruzza & Sintès, 2011). La question des conflits est récurrente en ce sens qu’elle intéresse tous les continents. En effet, si depuis toujours le monde a connu des conflits de toutes sortes entre Etats, la sous-région ouest africaine, connait ces dernières années une nouvelle forme de conflit à caractère transnational, voire international. Au sahel ce type de conflit menace l’existence des Etats déjà confrontés à des multiples difficultés tant économiques, environnementales que politiques.
Toutes ces formes de conflits dont les causes sont liées aux jeux d’intérêts autour des relations internationales aggravent la situation des pays africains déjà éprouvés par la pauvreté. Les conséquences immédiates sont les déplacements des populations vers des horizons divers. Cet axe propose de faire le diagnostic et de relancer le débat autour de ces formes de conflits et les mécanismes de leur gestion à l’échelle sous régionale.

Education, Santé et Culture

Aucun développement n’est possible sans une bonne planification du système éducatif, la mise en place d’un système efficace de santé et d’une politique culturelle basée sur les valeurs endogènes.
Le développement de l’éducation peut être une panacée aux multiples crises au Sahel. Comme l’atteste Mandela (1996), « l’éducation est l’arme la plus puissante que l’on puisse utiliser pour changer le monde ». Elle conditionne le développement des autres secteurs comme la santé, la culture, l’agriculture, l’industrie, le commerce, etc. Il est donc indéniable qu’investir davantage dans l'éducation peut aider les pays sahéliens à résoudre beaucoup de crises et à amorcer leur processus de développement dans la mesure où la région est composée de 60 à 70% de jeunes.
Aussi, l’amélioration de la santé des populations est-elle une condition essentielle au développement (ODD3) (Boidin, 2015). Les crises sanitaires peuvent anéantir ou réduire des progrès jusque-là accomplis par les pays du sahel. Elles ne sont pas exclusivement liées aux évènements épidémiques mais aussi aux évènements climatiques, environnementaux et sécuritaires. Cette composante multifactorielle des crises sanitaires a amené la plupart des pays à adopter une stratégie de gestion intégrée de celles-ci à travers l’approche multisectorielle dénommée « one health » ou « une seule santé » qui met l’accent sur les interactions entre les animaux, les humains et leurs divers environnements (Bénie Bi Vroh & Seck, 2016, Diouf et al., 2020). Cet axe vise à analyser les dysfonctionnements des systèmes éducatifs, les crises sanitaires et culturelles et de proposer des plans résilients de gestion mais aussi de prévenir les conséquences socioéconomiques et politiques de ces crises.

Exploitation des ressources naturelles : atouts et défis

La région sahélienne regorge d’importantes quantités de ressources naturelles. Elle est l’une des zones les plus riches au monde en termes du pétrole, de l'or et de l'uranium (UN, 2018).
De ce fait, l’intérêt stratégique de cette région ne cesse de croitre au cours de ces dernières décennies suite aux découvertes énergétiques dans plusieurs pays. Cela se traduit par la perpétuation des relations anciennes ou par l’établissement des nouvelles, ce qui présentent autant d’opportunités que de risques (Magrin, 2007). Il s’agira ici d’analyser ces opportunités et les défis des pays sahéliens dans l’exploitation de leurs ressources.

Chocs et défis d’intégration

Malgré les immenses ressources minières et énergétiques dont ils disposent, les pays sahéliens sont à la recherche de voies de développement socioéconomique et culturel depuis leurs indépendances. Tous les modèles de développements proposés (industrialisation, programmes d’ajustements structurels, etc.) n’ont pas permis de développer ces pays (Waziri Mato et al., 2007). Cette situation s’est aggravée de nos jours avec les chocs que le continent connait : chocs climatique, sanitaire, sécuritaire, répercussions de la crise ukrainienne sur l’économie sahélienne, etc.
Pour apporter des réponses à toutes ces difficultés, l’on a pensé à l’intégration politique et socioéconomique des Etats ouest-africains avec la création des blocs sous régionaux et supranationaux sans grands succès en raison de plusieurs obstacles. Ces derniers sont des défis à relever si l’on veut assurer une réelle intégration sur le plan sous régional.
Des historiens comme Joseph Ki-Zerbo (Ki-Zerbo, 1992) ont attiré l’attention des chercheurs sur la nature de l’intégration propre à amener l’Afrique vers le développement. Ki-Zerbo propose une intégration à la base et non une intégration au sommet comme c’est le cas jusquelà. Cet axe propose de mener un débat autour de la problématique des chocs que connait le Sahel et de proposer des modèles d’intégration à même de relever les défis.

COMMISSION

COORDONNATEUR SCIENTIFIQUE DU COLLOQUE

Pr WAZIRI MATO Maman, Université Abdou Moumouni de Niamey

COORDONNATEUR SCIENTIFIQUE DU COLLOQUE (ADJOINT)

Pr ZOURKALEINI Younoussi, Université André Salifou de Zinder

MEMBRES DU COMITE SCIENTIFIQUE

Un comité scientifique international composé de chercheurs et d’enseignants chercheurs de plusieurs institutions de formation et/ou de recherche est formé.

Pr KOKOU MOTCHO Henri, Université Abdou Momouni
Pr BABAGANA ABBA Gambo, Université de Maiduguri
Pr MAHARAZU Yusuf, Bayero Universty of Kano
Pr BOUKPESSI Tchaa, Université de Lomé
Pr OGOUWALE Euloge
Pr Ibouraima YABI, Université d’Abomey Calavi
Pr TCHOTSOUA Michel, Université de N’Gaoundéré
Pr DIOP Lamine, Université Cheik Anta Diop
Pr DJANGRANG Manna, Université de Moundou
Pr NDOUTORLENGAR Médard, Université de Sarh
Pr HAROUNA Mounkaila, Université Abdou Momouni
Pr DJIBO Hamani
Pr Emérite ALPHA GADO Boureima, Université Abdou Moumouni
Pr KIMBA Idrissa, Université Abdou Moumouni
Pr MAIKOREIMA Zakari, Université Abdou Moumouni
Pr YAHAYA Issoufou, Université Abdou Moumouni
Pr MAHAMANE Addo, Université Abdou Moumouni
Pr ZIBO Garba, Université Abdou Moumouni
Pr ABDOULAYE Mahaman Laoualy, Université Abdou Moumouni
Pr MANZOLA Abdou Salam, Université Abdou Moumouni
Pr YOUNOUSSI Zourkaleini, Université André Salifou de Zinder
Dr BONKOUNGOU Joachim, MC, IERA/Burkina
Dr ADAMOU Mahaman Moustapha, MC, Université Abdou Momouni
Dr MALAM ABDOU Badé, MC, Université Abdou Moumouni
Dr NAZOUMOU Yahaya, MC, Université Abdou Moumouni
Dr BOUBACAR Moussa, MC, Université Abdou Moumouni

Dr ZANGUINA Adamou, MC, Université Abdou Moumouni
Dr HAMADOU Hassane, MC, Université Abdou Moumouni
Dr IDRISSA Abdou, MC, Université Abdou Moumouni
Dr Sitou Laouali, MC, Université Dan Dicko Dan Koulodo de Maradi
Dr YOUSSOUFA Issiaka, MC, Université Dan Dicko Dan Koulodo de Maradi
Dr Boubé Morou, MC, Université Dan Dicko Dan Koulodo de Maradi
Dr MOUSSA Mahamadou Sani, MC, Université Djibo Hamani de Tahoua
Dr SOULEY Kabirou, MC, Université André Salifou de Zinder
Dr ILLOU Mahamadou, MC, Université André Salifou de Zinder
Dr ADAMOU Harissou, MC, Université André Salifou de Zinder
Dr DICKO Abdourahamane, MC, Université André Salifou de Zinder
Dr MALAM ABDOU Moussa, MC, Université André Salifou de Zinder
Dr MOUSSA ISSAKA Abdoulkader, MC, Université André Salifou de Zinder
Dr ABBA Bachir, MC, Université André Salifou de Zinder
Dr MAMADOU Ibrahim, MC, Université André Salifou de Zinder
Dr MALAM SOULEY Bassirou, MC, Université André Salifou de Zinder
Dr ADO SALIFOU Arifa Moussa, MC, Université André Salifou de Zinder
Dr ADAMOU Abdoulaye, MC, Université André Salifou de Zinder
Dr BARAO Madougou, MC, Université André Salifou de Zinder
Dr ADAMOU Harissou, MC, Université André Salifou de Zinder
Dr ABDOU Harou, MC, Université André Salifou de Zinder
Dr DIWANI Adamou, MC, Université André Salifou de Zinder
Dr ZAKARI Mahamadou Mounir, MC, Université André Salifou de Zinder
Dr OUMAROU Issoufou, MC, Université André Salifou de Zinder
Dr KIARI FOUGOU Hadiza, MC, Université de Diffa

PRESIDENT DU COMITE D'ORGANISATION

Dr SOULEY Kabirou, MC , Université André Salifou de Zinder

RAPPORTEUR AU COMITE D'ORGANISATION

Dr MOUSTAPHA MAHAMAN Lamine, MA , Université André Salifou de Zinder

MEMBRES DU COMITE D'ORGANISATION

Dr DICKO Abdourahamane, MC
Dr MALAM ABDOU Moussa, MC
Dr MAMADOU Ibrahim, MC
Dr ZAKARI Mahamadou Mounir, MC
Dr MALAM BOUKAR Awa Krou, MA
Dr ALOU Yacoubou, MA

Dr ABDOU Rabiou, MA
M. ABOUBACAR Abdoulaye
Dr MALAM ISSOUFOU Djardaye, A
Dr TCHAGNAOU Akimou, A
Dr GARBA Abdoul Azize, MA
Dr AMADOU MAGAGI Ibrahim, MA

SOUMISSION

Le colloque est ouvert aux chercheurs, aux enseignants-chercheurs, aux professionnels ou praticiens de tout genre, aux organisations non gouvernementales, aux structures privées ou publiques (présentation orale ou poster) sur inscription à l’un des cinq sous thèmes présentés au point 2 du présent document. La durée des présentations orales est de 10 mn (+ 10 mn de discussion).

Langues officielles du Colloque:

Les communications orales seront présentées en français ou en anglais.

Le résumé:

il doit être succinct (250 mots au maximum), attractif et structuré en Problème/objectif principal, matériels et méthodes, principaux résultats, perspectives et cinq (05) mots clés au maximum. Le résumé en français doit être reproduit en anglais (abstract). Les deux versions du résumé (française et anglaise) doivent tenir sur une page avec le titre et sa traduction, le(s) prénom(s) et nom(s) des auteur(s) et les adresse(s) complète(s), statut professionnel et institution de rattachement.

Types de présentation:
  • Communication orale
  • Poster: communication affichée

Les résumés seront envoyés par mail à l’adresse : colloqueuas@gmail.com

Présentation du Manuscrit:

Le projet d’article doit comporter un titre, les Prénom(s) et NOM (s) de l’auteur ou des auteurs, l’institution d’attache, l’adresse électronique de l’auteur correspondant, le résumé en français (250 mots), les mots-clés (cinq), le résumé en anglais (250 mots) les keywords, le contenu de l’article structuré en Introduction, Matériel et Méthodes, Résultats et Discussion (IMMRD). Les auteurs devront se conformer aux normes éditoriales en vigueur dans l’espace CAMES.

Les projets d’article, de 12 pages maximums, sont à envoyer sous la forme : NOM_Article.doc à l’adresse suivante : colloqueuas@gmail.com

Dates importantes

Début de réception des résumés:
10 août 2022
Fin de réception des résumés:
30 septembre 2022
Notification de l’acceptation des résumés:
10 octobre 2022
Fin de réception des manuscrits complets des articles et confirmation de participation:
05 novembre 2022
Déroulement du colloque:
28 au 30 novembre 2022
Publication des articles retenus dans une revue scientifique universitaire:
15 janvier 2023

INSCRIPTION

FRAIS D'INSCRIPTION

CATEGORIE DE PARTICIPANTS FRAIS FIXES
Doctorants, Docteurs 15 000 F CFA
Enseignants-chercheurs et Chercheurs 30 000F F CFA
Autres participants
(sans communication ou article)
40 000F F CFA

MOYEN DE PAIEMENT

Les frais d'inscription sont payables à l'arrivée au colloque à Zinder.

PROGRAM

Télécharger le programme: Colloque 2022

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SPONSORS

LIEU

L’Université André Salifou (UAS) a été créée par l’ordonnance N° 2010-42 du 1er juillet 2010, sur le site de l’Institut Universitaire de Technologie (IUT) de Zinder, d’abord sous la dénomination “Université de Zinder” avant d’être baptisée “Université André Salifou” au conseil de ministres du jeudi 07 avril 2022 (voir Communiqué N°009/CM/2022). C’est un établissement public à caractère Scientifique, Culturel et Technique, doté de la personnalité morale et de l’autonomie académique, scientifique, administrative et financière. Elle est située dans la Ville de Zinder, à 900 km de Niamey au centre sud du Niger. À travers son histoire récente mais riche, l’UAS a offert un large éventail d’opportunités académiques.

Addresse: BP 656, Km7, Route d'Agadez, Zinder, Niger

CONTACTS


Dr SOULEY Kabirou, MC
Tel: (+227) 97 34 44 26, 90 56 78 22, 96 88 99 36, 96 29 67 19
colloqueuas@gmail.com

Université André Salifou
Tel: +227 20 512 920
Fax: +227 20 512 920
contact@uas.edu.ne
universiteandresalifou@gmail.com

VILLE DE ZINDER

L'évènement se tiendra à Zinder, la capitale du Damagaram, des collines et la première capitale du Niger ....

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